Magical Story
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 Magical Story  Le Hall de l'Arbre 

 Le Chemin de l'Absence

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Midian
Killing Polichinelle.
Sans-Destin
Midian
   Posté le 11-11-2007 à 01:22:09   Voir le profil de Midian (En vacances)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Midian   

Midian se dirigeait doucement, détaché, vers la salle des gates.

Je souhaitais partir d’ici au plus vite, avant que la faible lueur qu’avait allumé le précédent spectacle en moi ne s’éteigne. Il y avait bien trop de gens à son goût. Trop de gens de trop de sortes. Il n’était pas fermé, la question n’était pas là, mais j’avais cette impression désagréable d’avoir plusieurs sources de lumières différentes devant les yeux comme lorsque j’avais goûté ces drôles de champignons, ramassés dans la forêt sur mon monde.

Son monde…

Oui, à cause d’eux, de leur visage, de leur voix ! La nausée ne disparaissait pas. La migraine persistait. Cette horrible chanson, je la devinais sans l’entendre. Sordide air…
Il fallait vraiment que je parte rapidement, mais rien ne m’obligeait de partir pour cette mission maintenant. Je souhaitais juste m’évader, être libre.

Et il le serait. Il comptait bien mettre en œuvre tous les moyens nécessaires pour ne serait-ce qu’effleurer son dessein.

Il déambulait tel un corps sans âme, remplis de rien, dans le Luastria comme un asticot qui se perdrait dans un cadavre en décomposition, croisant des confrères sans même les remarquer. Lui pensait bien plus, évidemment. Oui, il n’avait de tête que pour son projet. Obstination incessante, tracas sifflant, mais légèreté dans ses pas lorsqu’il eut un flash.

Je repensais tout d’un coup à cette gravure stupide, cette chanson stupide, n’y avait-il pas dedans, finalement, quelque chose de bon à en tirer ? Je m’efforçai de faire marcher ma mémoire du mieux que je le pouvais.

Il continua ainsi encore longtemps. La mine grise, traînant les pieds dans tout le vaisseau, son tube de calmants à la main lorsque son esprit s’échauffait trop. Il était une ombre, un fantôme qui glisse au milieu de tout. Il n’y avait à ses yeux qu’un immense tunnel noir dans lequel se superposaient maints et maints mots, se mélangeaient débuts et fins de phrases, des lettres coupées par ci, collées par là, un réel labeur de composition. Son corps marchait instinctivement, il passait et repassait par certains endroits, en découvrait d’autres sans s’en apercevoir, mais au final une seule chose comptait : remettre sur pied cette chanson.

Je n’avais pas tout, mais ça prenait forme. L’entête dédiait ce texte aux combattants, à ceux qui marchaient dans l’ombre et n’étais-je pas en ce moment même une ombre qui se débattait ? Je me rappelais également qu’ils disaient chanter cette chanson pour ne plus être seul, or l’idée commençait à germer dans mon esprit. La suite me revint de plus en plus distinctement. Ils opposaient le monde à une île dans un océan vide, ce qui me rapportait à nouveau dans ma solitude et à cette idée qui faisait son petit bonhomme de chemin.

Il se remémorait aisément et parfaitement la suite, deux vers par lesquels il se sentait légèrement touché, et deux autres qui exprimaient indirectement une critique envers les Dieux, ce qui lui plaisait beaucoup. Oui, tout le reste lui revenait en même temps qu’une lumière limpide profanait ses yeux de plomb.

« Enfermé et privé d'ailes, l'oiseau sur son atoll dépérit
Aveugle à l'éclat vierge des terres gardées par jalousie
Les Dieux n'ont pas voulu que nous ouvrions les yeux
Mais en marchant vers ce secret, les vents du destin gonfleront les ailes du vertueux
»

C’était là. Nous y étions. Ma pensée s’était accomplis, tout était clair à présent.
Un sourire étrange recouvrit le visage du garçon. Pris entre une distorsion dérangée et le plaisir simple et pure qu’un enfant éprouve lorsqu’un de ses rêves est prêt à se concrétiser.
Ce qu’il y avait d’inquiétant dans l’histoire, c’est que la plupart des rêves de Midian paraissaient à première vue bien loin de ceux d’un enfant.

Il s’avéra par chance que mon esprit reprit pleinement possession de mon corps devant l’endroit qui m’intéressait le plus, le Hall.
Ces yeux brillaient d’un diabolisme malveillant ce qui contrastait avec son sourire.
Il entra à nouveau dans cette grande pièce et murmura tout simplement en même temps qu’il emboîtait son premier pas : J’ai des ailes, et voilà qu’elles s’apprêtent à se déployer.

Nous étions prêts. Il avait l’air détendue et déterminé. Je laissais voir que je n’étais pas là par hasard, sans me mettre plus en avant que quiconque. Il était une ombre parmi les ombres, une silhouette en plus, rien d’autre. Du moins je l’espérais ardemment.

Il s’était mélangé aux autres, il attendait. Jouait-il à perdre son temps ? Seule la suite lui dirait. Le temps était lent, très lent. L’atmosphère pesante. Le naturel devait être de mise, il était facilement indifférent, pourtant quelque chose d’autre se produisait en lui. Quelque chose qui aurait pu tout gâcher. L’excitation. C’était bon. Délicieux.

Son esprit se perdait déjà dans de drôles de divagations, s’était gagné. Il se voyait. Il la voyait. Il ne l’aimait pas, mais ça pourrait être drôle. Une dernière fois. Il voulait le faire. Peut-être simplement par contradiction. Mais il éprouvait se besoin de se battre contre les règles. L’occasion était bonne. La récompense alléchante.

Trêve de plaisanteries et de distrayantes niaiseries. Le voilà. Il était enfin là, le transport des nouvelles recrues. Plus perdues les unes que les autres. Pas une mine pour relever celle de la voisine. Pitoyable. Drôle de spectacle, je m‘envolais avant l’heure.

Alors, comme tous les gens autour de lui, il regarda avec mépris les nouveaux venus se diriger vers son ex-ami l’examinateur aux cartes. Comme tous, il les jaugeait, les regardait profondément. Chacun semblait absorbé par chaque brasement de carte.

Le rituel poursuivait son interminable cours, cependant une silhouette avait déjà quittée discrètement l’assemblée. Alors que l’attention était tout entière sur les arrivants, Midian en un souffle sourd et court s’était déjà engouffré dans la navette qui devait repartir sur Faitharch. Il était déjà tranquillement caché et riait silencieusement de la bêtise de la situation.

« Que va-t-il advenir maintenant ? » soufflais-je tout bas et laissant ma tête reposer contre un mur auquel je faisais dos.

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Mitoko triball
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Mitoko triball
   Posté le 11-11-2007 à 13:01:33   Voir le profil de Mitoko triball (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Mitoko triball   

( Hj : Nieuh... c'est possible de passer outre l'attention des examinateurs de la sorte ? ... parce qu'il doit certainement y en avoir un tas qui veillent dans les environs... ^^" Mais bon, remarque, vu le caractère volontairement effacé et discret de Midian, il doit réussir à se fondre facilement dans une foule. XD Et s'il réussit ce coup, ça sera un point positif pour sa mission à venir.
Bon, moi je ne pense pas vraiment avoir mon mot à dire... Nos amis admins, la décision n'appartient qu'à vous. ^^' )

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Yno
   Posté le 11-11-2007 à 17:49:47   Voir le profil de Yno (Offline)   Répondre à ce message   http://rpgdomaine.com   Envoyer un message privé à Yno   

(C'est Tout à fait possible on va dire, mais passez inaperçut à lua, sa l'est moin =D )



« Vous allez devoir sortir de cette navette suivant de l’Aube, Wilhm Midian »

Car si Midian avait bien réussit à passer quelque peu entre les mailles du filets des examinateurs qui avait à faire avec la masse compacte de nouveaux sans destin, il n’était pas passé inaperçu aux « yeux » du vaisseau lui-même qui avait dépêcher cet examinateur.

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Midian
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Midian
   Posté le 11-11-2007 à 23:52:25   Voir le profil de Midian (En vacances)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Midian   

J’étais furax, haineux.
Cette raclure de pauvre serviteur, ramassis d’une conscience brisée, les mots étaient de plus en plus crachés et lourds d’agressivités, vers infâme privé d’orgueil et de volonté, tendre chien galeux, sourd et muet, déchet obéissant sans vergogne, ordure ! Maudite créature, tu m’as avidement, sans raison, privé des prémices de ma liberté, arraché violemment cette simple entrevue de bien-être !

Déclaration brutale qu’il avait crue intérieure, cependant, il avait douloureusement vomis tout cela avec une colère noire, brûlante. Ces yeux étaient près à saigner de rage.

Un seul sentiment. Une unique envie. Pulsion violente. Le tuer. Le tuer avec toute la Haine dont il m’avait empli ! Le détruire avec toute la Haine dont j’étais capable ! L’anéantir tout entier dans le brasier qui me possédait...

« Je te hais ! » lui murmura-t-il d’une vois perdue. « Je n’ai pour toi que du mépris ! »

Une idée faisait pourtant son chemin. Rien n’était terminé.

Alors je restai là, assis, impassible, attendant une quelconque réaction de mon meurtrier.

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   Posté le 12-11-2007 à 18:00:07   Voir le profil de Yno (Offline)   Répondre à ce message   http://rpgdomaine.com   Envoyer un message privé à Yno   



L’examinateur était resté de marbre devant les paroles de Midian. Il le prit par le pan d’un de ses vêtements et le sortit avec aisance de la navette qui décolla aussitôt en direction de Faitarch.

« Suivant de l’aube Wilhm Midian, je vous serais gréer de modérer vos propos qui pourrait vous valoir une peine d’isolation dans les geôle du Luastria durant une journée »

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Midian
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   Posté le 12-11-2007 à 19:40:58   Voir le profil de Midian (En vacances)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Midian   

Midian n'avait rien fait. Ce n'était pas dans son habitude. Il aurait préféré se débattre jusqu'en enfer plutôt que de se laisser traîner en dehors du vaisseau. Pourtant, il avait tellement été surpris qu'il n'avait rien fait. Rien du tout.

Ce n'est pas grave. Son idée était toujours là, elle serait juste différente dans l'application.

Je pris alors un air grave, je venais de me rendre compte de l'absurdité de la chose. Ce qui me passait par la tête me menait tout droit vers l’emprisonnement. Tout ça pour quelques légères sottises agréables à l’esprit.

« Ecoutez-moi, je ne sais pas bien ce qui m’est passé par la tête. Je vous fais mes plus plates excuses. N’y a-t-il pas quelque chose que je pourrais faire pour me rattraper ? Rentrer dans vos bonnes grâces ? » Tout cela semblait pénible à prononcer pour Midian, alors il prenait son temps, choisissait ses mots avec soin.

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   Posté le 12-11-2007 à 19:52:13   Voir le profil de Yno (Offline)   Répondre à ce message   http://rpgdomaine.com   Envoyer un message privé à Yno   



« Bien, nous mettrons cela sur le compte de la nouveauté de votre statut de sans destin » fit l’examinateurs en s’en allant.

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Midian
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   Posté le 12-11-2007 à 20:20:06   Voir le profil de Midian (En vacances)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Midian   

C'était tout ? Vraiment avare en parole. La comédie n'avait servit à rien, il s'était écorché le palais pour rien. Exécrables personnages, décidément.

Bien, l'idée semblait bien fade à présent. Je m'assis, un peu ridicule, mais toujours en vie. Puis j'attendis.

J'attendis longtemps, trop longtemps. Assez pour trop sentir le poids des regards des nouveaux sans-destin qui s'engouffraient aveuglement dans une organisation rigide et impitoyable. Interrogateurs, moqueurs, dédaigneux, j'avais le droit à tout. Cependant il fallait que je reste calme et imperturbable si je voulais réaliser mon objectif.

J'attendis donc encore. Décidé, j'aurais attendu le temps qu'il faut.

C'est pour cela que le temps me narguait de sa cruelle lenteur.

Toutefois, je n'avais d'autres solutions qu'attendre. Alors j'attendis.

Enfin, une nouvelle navette arriva, je restais assis, les gens m'inondaient de toutes parts. Certains me voyaient, d'autres pas. J'entendais un lointain désolé lorsque l'on me marchait dessus. Je subissais toujours ces mêmes regards...

J'attendis encore. Les réfugiés s'engouffraient au fond du Hall, attendant chacun leur tour pour obtenir leur section. Trop pressés d'être rangé à tel ou tel endroit par trois ridicules cartes.

Mais le parfum de la liberté, ou du moins d'une nouvelle tentative pour obtenir cette dernière, me chatouilla les narines. Le bruit sourd d'une escapade hypothétique tinta à mes oreilles. Une nouvelle déception s'annonçait peut-être, mais jusqu'au bout je persisterais.

Le navette vrombissait, laissant s'échapper quelques gaz, elle allait repartir. Je l'avais déjà vu.

Je me levai d'un bond ! Je couru le plus vite possible jusqu'à ses portes ! Je sautai à l'intérieur dans un dernier espoir, alors que les portes se fermaient au même instant ! Mais j'avais gagné. J'étais dedans. Ça avait été juste, mais j'étais dedans.

La navette semblait être sur le point de partir, mais après l'évènement précédent, j'étais prêt à tout.

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Paine
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   Posté le 13-11-2007 à 00:06:51   Voir le profil de Paine (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Paine   



Et effectivement, Midian faisait bien de rester sur ses gardes, car l'examinateur n'était pas loin : surgissant d'un coin d'ombre de la navette, il sembla dévisager le Sans-Destin sans aucune animosité, si tant est qu'on eut pu distinguer ses expressions sous son masque et ses lunettes aux verres fumés.

"Ne vous ai-je pas prévenu? A moins que vous ne vouliez quitter les Sans-Destin. Personne ne vous retient ici, si tel est votre désir, vous pouvez partir, et nous pouvons vous conduire sur un monde de votre choix."

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Midian
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   Posté le 13-11-2007 à 13:49:09   Voir le profil de Midian (En vacances)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Midian   

Je n'osais en croire mes yeux. Ce n'était pas possible ! J'étais en plein cauchemar ! Je devais être dans un de ses contes pour enfant, ou le méchant se fait toujours rattrapé par un gentil qui sort de nul part. Et cette navette, allait-elle finir par décoller ? Avait-on interdit toute opération jusqu'à ce que j'en sorte ?

Il n'avait qu'une envie : plaquer l'examinateur contre le mur et le poignarder. Le transpercer sans cesse en priant qu'il disparaisse. Fendre sa chair, s'il en était composé, jusqu'à ce que les interminables va-et-vient de la lame ne provoque plus aucun souffle de douleur...

Cependant, je ne pouvais que le défier du regard. Agir autrement aurait été suicidaire. Ces monstres était bien plus fort. Et même s'il m'en coûtait, je devais me plier un peu et la jouer plus fine.
Toutefois, je me sentis soudain merveilleusement mieux ! J'imaginais déjà le sourire qui imprégnait mon visage. La navette partait, ça y est, elle décollait ! Et le plus drôle, du moins dans la théorie, c'est que cet adorable Examinateur se retrouvait à voyager avec moi !

"Eh bien très cher, lui dis-je joyeusement, on dirait que nous sommes obligés de partager un peu de temps, l'un et l'autre. Voilà une idée un peu étrange non ? Tant est si bien qu'il faudrait déjà que vous ressentiez quelque chose, vide créature. Nous allons pouvoir en apprendre é - nor - mé - ment sur l'autre, n'est-ce pas une idée totalement succulente ? De plus, vous pourrez me chaperonner comme ça ! Alleeeez, asseyez vous à mes côtés, dis-je en tapotant à côté de moi, une immense sourire aux lèvres.

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Paine
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   Posté le 13-11-2007 à 14:16:27   Voir le profil de Paine (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Paine   

((Ne prends pas trop de libertés avec l'autorité mon grand si j'ai pas dit que la navette décollait, c'est qu'elle ne décollait pas :p))



L'examinateur ouvrit la porte de la navette, qui n'avait pas du tout décollé comme aurait pu le croire Midian, mais s'était trouvée secouée par le décollage d'une autre, donnant la fausse impression que l'entreprise du Sans-Destin avait réussi.

"Il est fort possible que nous passions un peu de temps ensemble, mais ce ne sera que lorsque vous serez conduit au quartier de sécurité. Tout d'abord, je vais vous conduire auprès de votre leader, ce sera elle qui décidera de la sanction à appliquer. Suivez-moi, et sans discuter!"

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   Posté le 13-11-2007 à 14:18:53   Voir le profil de Midian (En vacances)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Midian   

((Ah, ah.. Je m'en doutais. J'aurais tenté. Je trouvais ça drôle. Tant pis...))

Ce n'était vraiment pas mon jour. J'étais privé de toute volonté, de toute envie... Pas de colère, pas de tristesse. Un vide.

"Bien, puisque ça vous semble nécessaire." laissa-t-il échapper, absent.

C'était la fin, du moins pour le moment, de son semblant d'escapade.


Edité le 13-11-2007 à 22:32:03 par Midian




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   Posté le 13-11-2007 à 23:40:40   Voir le profil de Paine (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Paine   



Puisque Midian semblait s'être résolu, l'examinateur lui fit signe de le suivre, le surveillant de près pour lui montrer qu'il ne plaisantait pas, direction le bureau d'Aya.

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