Magical Story
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 Le désespoir en trois lettres : MPI

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Talentyre
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Guerrier de l'Etincelle
Talentyre
   Posté le 06-04-2006 à 16:26:17   Voir le profil de Talentyre (Offline)   Répondre à ce message   http://mini-riri.skyrock.com   Envoyer un message privé à Talentyre   

J'ai écrit cette histoire dans le simple et unique but d'embêter mon prof de MPI, à qui je l'ai bien sûr envoyée, et qui semble avoir adoré la lecture (je pense qu'il a bien ri malgré tout). Elle met en scène plusieurs personnes de mon entourage, mais il n'est pas nécéssaire de les connaître pour comprendre... Bonne lecture!

Le désespoir en trois lettres : MPI


D’après une histoire vraie… et hebdomadaire, en plus !

Mardi matin, huit heures : mon réveil sonne. Elle m’exaspère de plus en plus, cette insupportable sonnerie, ce « bip bip bip » régulier qui m’arrache chaque matin à mon sommeil, me privant ainsi de mon activité favorite : dormir. Pourtant, je pense ne pas l’exercer assez ; m’étant encore couchée la veille aux alentours de une heure et demi du matin, c’est bien fatiguée que je m’avance éteindre ce maudit réveil, les yeux encore à demi clos. J’allume la lumière pour m’encourager à me préparer. Mais l’appel du lit est trop fort, j’y retourne, pour encore quelques minutes…
Préparer son sac… l’une des plus grandes galères de la matinée, une action toujours effectuée à la dernière minute, certainement parce que je n’y pense pas plus tôt. Je soulève mon sac, le vide machinalement, et au moment de le remplir, une question s’affiche clairement dans mon esprit. C’est comme si ma conscience (où l’une de mes nombreuses personnalités, qu’en sais-je ?) parlait à l’intérieur de mon être, s’écriant d’une voix râleuse : « P’tain j’ai quoi déjà c’matin ? » Un rapide coup d’œil au vieil emploi du temps miteux qui tient lieu de poster en face de mon bureau : je crois m’évanouir à la vue des trois lettres « MPI ». Et oui, on est mardi, et la journée commence bien mal ! Plongeant mes affaires dans le sac, que je hisse avec flemme sur mon dos, je sors de ma chambre, traverse l’appart, et devant la porte, je m’arrête, rageant intérieurement : « Merdeuh, mes clefs sont restées dans ma chambre ! » (ndTal : ça m’arrive souvent, ça, d’arriver devant la porte sans mes clefs. Non pas que j’en ai besoin pour sortir, mais disons plutôt que sans, je suis condamnée à rester à la porte, ce qui implique une longue errance dans le froid jusqu’à ce que quelqu’un rentre…)
De retour dans ma chambre, je prend les clefs en vitesse et m’apprête à partir enfin. Un rapide coup d’œil à la pendule m’indique que je suis déjà bien à la bourre, comme tous les matins. Mon regard s’arrête en pleine course sur la cage du lapin, dans laquelle ladite bête s’excite. Je regarde sa gamelle vide, et, rageant de nouveau intérieurement, la remplis rapidement, avant de repartir, pour de bon cette fois, courant presque.
Ah, la rue et ses joies ! La pollution et l’ambiance grisâtre de Paris ! Quel bonheur, Paris, surtout quand il fait froid comme ce matin… ! Ecouteurs dans les oreilles, j’avance sans motivation. Ah, le lecteur mp3, l’une des plus sublimes inventions de l’homme, permettant de ne plus entendre le boucan continuel qui résonne dans les rues. Enfin, perdue dans ma musique, ayant manqué plusieurs fois de rentrer dans quelqu’un, j’arrive devant le lycée, entre dans le bâtiment, apercevant certains profs que j’aurai préféré n’avoir jamais connu, et monte les escaliers, direction la salle de physique. J’arrive dans le couloir, espérant être assez à la bourre pour me faire jeter ou du moins, pour avoir perdu quelques minutes du cours… Sur les trois heures à suivre, personne ne m’en voudra. Mais non, il faut que tout le monde soit encore planté devant la salle - attendant, discutant, écoutant de la musique, révisant (le plus rare, presque improbable)… -, chacun ayant plus ou moins la tête dans l’c… Je vois des masses, je les reconnais tous à un détail : que ce soit la couleur de l’écharpe, la forme des lunettes, l’attitude, ou simplement l’air ahuri qu’ont certains. S’ensuis une interminable série de bise, politesse mécanique dont on se passerait aisément (ndTal : N’est-ce pas Opera ? ) La porte de la salle s’ouvre… ah, maudite salle, tu ne pouvais pas rester fermée à jamais ? Mais non, je sens une main qui prend la mienne : Julia me tire, inlassablement. Elle ne peut pas s’empêcher de me tirer, comme si mon bras était élastique, mais non, Julia, mon bras n’est pas élastique, et je me retrouve plantée au milieu de l’allée, dans la salle de MPI… C’est ici que tout commence…

J’accroche mon manteau au fond de la classe et vient m’asseoir. Le cours n’a pas encore commencé que le prof rend déjà les derniers TP. Tandis que l’Imbécile heureux qui se trouve assis derrière moi (ndTal : Non, je ne nommerai personne, et puis son nom est tellement moche qu’il en salirait cette fic…) passe son temps à réclamer des points, moi, je ne veux même pas voir ma note. Ca me déprime… Il faut pourtant bien que je la voie, je ne peux y échapper, et je constate les dégâts. Oui, il y a des oublis, quelques fautes… J’ai parfois l’impression que le prof retire trois points par faute… Mais une idée simple me rassure, test qui m’a révélé, sur deux ans (un cobaye par an, et celui de cette année est ledit Imbécile heureux), que les notes n’ont rien à voir avec l’intelligence, et qu’on peut être très con tout en ayant quinze de moyenne. Inconsciemment, ça me rassure : je me dis qu’en fait, je ne suis pas forcément irrécupérable… (ndTal : je ne parle pas ici des notes, qui, elles, sont tout à fait irrécupérables, mais de mon état mental actuel… à voir…)
Je ne remarque qu’alors les oscilloscopes cathodiques installés sur la table. Ils me font peur, quelque part… J’ai parfois l’impression que l’un d’eux se mettra alors à me parler, la courbe sinusoïdale formant sa bouche, me répétant sans cesse « comprend ta douleur »… M’éloignant dudit engin, autant parce que je n’ai du coup pas assez de place pour poser mes affaires sur cette partie de la table que parce que sa vue me déprime, je sors la dernière feuille de cours et note la suite, que le prof marque au tableau. Grand trois : Montage représentatif de la fonctionnalité sinusoïdale des paramètres électroniques d’un amplificateur opérationnel (ndTal : je n’exagère qu’un tout petit peu…). Etrange, j’ai l’impression de lire du russe… En serait-ce ? Non, soyons calme et analysons la phrase… rien n’y fait, je ne comprend décidément rien à ce titre, et encore, ce n’est qu’un titre. Mais je préfère faire taire la voix qui résonne en moi, désireuse de tout comprendre à tout, même l’incompréhensible. J’attends la suite pour espérer voir l’obscur titre s’éclairer. Petit un : schéma conventionnel de la représentation graphique des calculs de mesures. Il a rien de plus simple, le monsieur ? Faut croire que non, et l’impression s’accentue d’avantage lorsque je le vois commencer son schéma. Y’a pas à dire, il aurait du faire les beaux arts… Magnifique représentation de l’art abstrait que nous avons là ! Ah, que j’aimerai crier un coup, sauter par la fenêtre et m’écraser quelques étages plus bas…
Le prof écrit alors des calculs, entre deux cris du genre « à votre place ! » à l’intention des fouteurs de merde du fond, des calculs qui n’ont pour moi aucun sens, aucune logique, et aucune place dans ce schéma déjà bien assez compliqué comme ça. Bordel, je viens à peine de finir de le prendre, et il a déjà marqué des calculs de fous ! Bien sûr, tout le monde comprend, et lorsqu’il pose une question, je suis la seule à le fixer, la bouche entrouverte dans un élan de perplexe incompréhension, prête à gober les mouches. En fait non, je ne suis pas seule : Clarisse aussi ne comprend rien, mais elle a déjà lâché l’affaire depuis longtemps… je devrais faire de même, tiens. D’ailleurs, c’est ce qui arrive assez rapidement. Dans un dernier effort, je regarde les lèvres du prof bouger sans parvenir à déchiffrer le son qui en sort. J’en suis sûre, maintenant : il ne parle définitivement pas français. Tant pis, j’arrête la toute cette réflexion plus que vaine et me contente de recopier bêtement tout ce qui peut apparaître sur le magnifique tableau vert, qui trône royalement sur le mur. Je n’écoute plus, j’entend seulement le prof, et fais abstraction des bruits parasites venant du fond de la classe. Ah, mais y’en a un, derrière moi, qu’est-ce que je donnerai pas pour lui écraser sa tête contre la vitre ! Ca risque d’arriver, un jour, je vais repeindre les murs avec son sang… (ndTal : les envies meurtrières qui reviennent à l’attaque, pardon, j’arrête le gore -__- )
Je me surprends à fixer rêveusement les ordinateurs placés en bout de rangée, espérant apprendre un jour la programmation… Ah, programmation, l’un des plus doux mots de la langue française, après meurtre et destruction ! (ndTal : non, il n’est nulle ironie en ces termes, ce sont bien mes mots préférés !) Quelque chose me tire de ma rêverie : ô miracle, ça sonne ! Enfin, une heure est passée, si douloureuse soit-elle. Des élèves quittent la salle, mais je n’ai même plus la force de me lever. Cette heure a fait fondre les derniers neurones qui subsistaient dans mon minuscule cerveau. Ah, quel dommage ! Mais ce n’est pas vraiment une perte, pour le peu que je les utilisais…

Tiens, quel est cet imbécile qui vient s’incruster pendant la pause ? Charly ! Ô, Saint Charly qui vient nous délivrer de la pression et du travail ! Enfin, voila notre sauveur ! Je me précipite lui dire bonjour, et, le regardant d’un air de chien battu : « Tu veux pas squatter une heure, pour détendre l’atmosphère ?
- T’es ouf ! J’ai pas que ça à faire ! »
Décidément, mes yeux de merlan fris n’y feront rien. Charly, tu n’as pas de cœur… Tant pis, je souffrirai en silence (ndTal : hum… no comment please XD).
« - Et puis de toute façon, il m’accepterai pas ! »
La réplique m’achève : il n’a que trop raison. Maieuh, pourquoi chuis pas capable de foutre la merde comme lui ? Peut être parce que je ne comprends rien, répond une voix dans mon esprit (ma schizophrénie prend alors tout son sens !).
« - Bon, on reprend ! Allez Charly, dehors ! »
Notre sauveur disparaît, sans même avoir foutu un tout petit peu sa merdouille… décidément, il ne la réserve qu’à sa propre classe (ndTal : égoïste, va ! j’déc’ !)…
On reprend le cours dans la joie et la bonne humeur… ! Allez, petit deux : schéma pratique. Tiens, un titre que je comprends ! Mais j’avoue le comprendre un peu moins quand je vois la gueule du schéma, et ô combien il n’est pas pratique (ndTal : jeu de mot pourrave, prière de ne pas relever…).
Peu de temps après, un bruit retentit : c’est l’alarme incendie. S’ensuit une simulation très réaliste d’une classe paniquée. J’entend hurler des « au feu ! », « on va tous mourir ! », « vite, tous dehors », etc. Le prof regarde s’agiter les élèves, ne pouvant se retenir d’en rire : c’est vrai, ils sont pitoyables. Et pour l’être autant qu’eux, je me permet d’ajouter un :
« - Hey m’sieur, c’est de la non-assistance à personne en danger ! » lorsque ledit monsieur ne veut pas nous laisser sortir. Un coup d’œil rapide dans le couloir, il n’y a personne.
« - C’est parce qu’ils sont tous morts ! » hurlé-je dans un élan de fausse panique, histoire d’en remettre une couche. Eh oui, je suis méchante (ndTal : sadique, dirais-je plus précisément), eh oui, je suis bête, mais au moins, moi, j’en suis consciente !
Le calme revint enfin dans la salle, tout le monde est à peu près à sa place : la manipulation commence. Il reste à peine dix minutes avant la fin de l’heure, dix minutes bien nécessaire à mon cerveau pour analyser le sens de branchement des fils. Après avoir relié à peu près tous les engins – différents voltmètres, oscilloscopes, générateurs, ampèremètres, résistances diverses – les uns aux autres, le prof daigne enfin passer près de ma table pour annoncer, d’un air catastrophé : « Oh non, ça va pas là, vraiment pas ! Comment vous… ?
- Ben… c’est pas bon ?
- Pas du tout ! »
Il débranche tout et recommence. Regardant alentour, je remarque que tout le monde a réussi l’épreuve, et je me sens alors extrêmement stupide… Mais peu m’importe alors les autres, pour le moment, je veux réussir à suivre les explications. Une fois tout bien branché, je demande : « Pourquoi c’est branché comme ça et pas comme ça ? »
Il me regarde alors, un léger sourire s’affichant sur son visage, les yeux perdus dans le vague. Oui, je la ressens, cette aura meurtrière qui se dégage de lui. Je vois ses mains se serrer et imagine déjà son désir de me balancer par la fenêtre. Faites donc, faites donc ; j’aimerai bien le lui dire, mais j’évite. Il range ses mains et commence alors son explication : « Mais c’est simple ! La borne rouge de sortie alternative se branche sur la troisième entrée de l’oscilloscope, la borne verte du voltmètre sur la noire du générateur, et cette même noire sur… »
Après un long discours, je le fixe, et marmonne : « J’ai rien compris…
- Je ne comprends pas ce que vous ne comprenez pas ! »
Ouais ben ça nous fait un point commun, brûlé-je d’envie de lui répondre, mais je ferme ma grande gueule et je prend les mesures.
Deuxième sonnerie. Je constate avec joie que je n’ai pas fait le dixième de ce qu’on fait les autres groupes. Et puis merde, tant pis, je ne sacrifierai pas ma pause ! De toute façon, je l’aurai pas fini à temps, ce ****** de TP ! Et alors ? Il devrait y être habitué, le prof, aux graphiques incomplets ! Je mets de la musique, m’assied en bout de rangée, priant pour qu’on me foute la paix… j’ai trop mal au crâne.

La troisième heure commence. Troisième et dernière heure avant de retrouver la liberté de l’extérieur. Pensant avoir terminé la quasi-totalité du TP, je lève les yeux sur le tableau pour voir l’échelle du graphique, et remarque à mon grand désespoir qu’il reste cinq colonnes de calculs à faire. On peut lire « U1+U2 » en haut de la première, « U2+R4/ H5*k » en haut de la seconde, et la suite ne va pas en s’arrangeant. Encore une fois, je recopie, et une question brûle mes lèvres, si bien que je finis par la poser : « Pourquoi on fait ces calculs ci ?
- Tout simplement pour pouvoir démontrer la présence d’une éventuelle proportionnalité entre les différents cosinus calculés dans les mesures prises des oscillogrammes alternants… » m’affirme l’extra-terrestre avec conviction.
Son vocabulaire me dépasse : je ne cherche même plus à comprendre. J’approuve le raisonnement d’un signe de tête et me livre à la joie des calculs. Il m’aura fallu plus d’un quart d’heure pour en venir à bout, un long quart d’heure de réflexions intenses assistées par la calculatrice.
Je vais enfin chercher la feuille de papier millimétré pour commencer le graphique que tout le monde a déjà terminé. Oh que j’aime faire des graphiques : placer des points au dixième de millimètre près – et faire foirer le graphique en cas d’erreur minime –, tracer ensuite une droite qui ne passe par aucun des points placés, et enfin, se rendre compte qu’on a tout faux. Je n’ai le temps de finir mon dur labeur : la sonnerie retentit, tout le monde s’en va, et moi je reste, j’essaie désespérément de terminer ce maudit graphique. Pour une fois, je n’oublie pas les unités, prenant bien soin de marquer en abscisse « U/R*P+I/R, en Volts/Ohms*Watt+Ampères/Ohms » ; l’ordonnée n’est pas mieux.
Enfin, je rend mes feuilles, range mes affaires, sans chercher à croiser une seconde de plus le regard du prof : il me fait peur, je suis convaincue, maintenant, qu’il n’est pas humain ! Je récupère mon manteau, prend mon sac, réveille Clarisse et quitte la salle, en silence.

FIN


J’espère, en écrivant cette fic, ne pas avoir déteint sur de pauvres troisièmes qui voulaient choisir MPI en seconde, et se retrouveront finalement en SES…

Fiction autobiographique écrite en environ deux heures.

Je tiens à remercier tout particulièrement le prof de MPI et cette classe de demeurés pour m’avoir mis dans les circonstances favorables pour trouver mon inspiration.


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Ikkaru
Moombas au pouvoir !
Barde des Nuages
Ikkaru
   Posté le 08-04-2006 à 19:07:55   Voir le profil de Ikkaru (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Ikkaru   

Inspiration particulière mais inspiration tout de même
J'aime beaucoup ^^ , on a commencé les amplificateurs opérationnels en mpi , ça s'annonce joyeux -__-'

Message édité le 08-04-2006 à 19:44:33 par Ikkaru


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Zodiac
Yumhaël
Apprenti du Zénith
Zodiac
   Posté le 08-04-2006 à 19:31:38   Voir le profil de Zodiac (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Zodiac   

enfin, on voit l'utilité des sciences... -_-''

c'est matiere obligatoir pour moi l'an prochain... joie


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Talentyre
Cerveau vendu séparément
Guerrier de l'Etincelle
Talentyre
   Posté le 11-04-2006 à 16:12:28   Voir le profil de Talentyre (Offline)   Répondre à ce message   http://mini-riri.skyrock.com   Envoyer un message privé à Talentyre   

Zodiac a écrit :

enfin, on voit l'utilité des sciences... -_-''

Ben ça dépend lesquelles. Même si je trouve inutil au possible l'apprentissage du binaire ainsi que tout le programme des MPI, la physique-chimie reste ma matière préférée. Pour tout avouer, il ne me dérangerait pas de finir dans un laboratoire...

Ikkaru a écrit :

Inspiration particulière mais inspiration tout de même
J'aime beaucoup ^^ , on a commencé les amplificateurs opérationnels en mpi , ça s'annonce joyeux -__-'

Toi aussi XD C'est le sujet que j'ai le plus révisé, je m'en suis sorti avec un 13 au contrôle


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Ikkaru
Moombas au pouvoir !
Barde des Nuages
Ikkaru
   Posté le 11-04-2006 à 16:26:33   Voir le profil de Ikkaru (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Ikkaru   

Il m'ont eut à en parler sans intérêt et à le vanter en troisième ( attention , je ne dis pas que c'est nul , je veux pas décourager ceux qui pourraient aimer XD )


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Khaotil
Hakuna Matata!
Silent Adept
Khaotil
   Posté le 11-04-2006 à 17:34:29   Voir le profil de Khaotil (Offline)   Répondre à ce message   http://magicalstory.rpgdomaine.com/enter.html   Envoyer un message privé à Khaotil   

J'ai fait Scientifique pourtant, je sais même pas ce que c'est que le MPI XD


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Personnage dans le roleplay: Loreleï

Talentyre
Cerveau vendu séparément
Guerrier de l'Etincelle
Talentyre
   Posté le 12-04-2006 à 02:20:29   Voir le profil de Talentyre (Offline)   Répondre à ce message   http://mini-riri.skyrock.com   Envoyer un message privé à Talentyre   

Mesures Physiques et Informatique. C'est une option de détermination que l'éducation nationale a eu la brillante idée d'ajouter l'année dernière. L'option consiste à prendre des mesures physiques et à faire des graphiques! Une fois, deux fois, passe encore... quinze fois, on fatigue lol. Surtout que mon prof est très gentil mais explique très mal, et ne semble pas savoir parler et écrire français (sans déconner, j'ai montré le mail qu'il m'avait envoyé en réponse à l'histoire à ma soeur, elle ne l'a pas compris...).

Voila des renseignements dessus si ça t'intéresse, avec en bas de page le programme de l'année


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Zodiac
Yumhaël
Apprenti du Zénith
Zodiac
   Posté le 13-04-2006 à 01:47:04   Voir le profil de Zodiac (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Zodiac   

c,est sensé interesser ki au juste ?


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KillerDensh
Sans-Destin
KillerDensh
   Posté le 13-04-2006 à 23:10:06   Voir le profil de KillerDensh (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à KillerDensh   

super ta fic franchement ^^ je m'y croyais comme jamais! Tu as réussi à me donner mal à la tête! Mdr!


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Perso RP = Densh Nesnud



I lost my life... My wish? Lost with my life...
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