Dernières réponses | | On attendra que tu le sois. ^^ *Repart en sifflotant, les mains dans le dos* |
| | Merci ^^ Mimi > Euh, sa depend, je ne les ecrit que quand je suis inspirer XD |
| | Lovie a écrit :
moi j'aime bien ^^ |
Moi n'aussi... |
| | Huuuuum, les mots sont simples et certains peut-être pas tout à fait justes mais... c'est justement ce qui confère son caractère si touchant et hésitant à ce poême... é__è Moi je le trouve adorable ! ^^ (Même s'il peut faire encore mieux ? ) Oh, bien sûr qu'il fera encore mieux. Avec de l'entrainement et la lecture de poêmes divers ! ^^ Allez ni-san, va falloir nous en faire d'autres ! XD |
| | moi j'aime bien ^^ |
| | Comment te dire ces mot ? Comment te dire seulement un mot ? Comment te dire cette idée naissante ? Suis-je seul ? Comment caresser ses fin fils tissé d'or ? Comment caresser cette texture si douce ? Comment caresser le rêve de cette vie ? Suis-je seul ? Comment te prouver que mon corps s'embrase ? Comment te prouver que tu en es la raison ? Comment te prouver que je vis ? Suis-je seul ? Je suis l'être solitaire Celui qui ne peut prouver qu'il ait une raison de vivre Abandonner de tous ou n'étant rien d'autre qu'une pensée vide ? Peut être ne suis-je plus seul. Niurk, sa veut rien dire ^^" |
| | Rei a écrit :
Petit poême que j'ai trouvé sur le web en fouillant un peu. Je veux simplement avoir votre avis. Le plus sincère qu'il soit... Danse comme si t'avais la rage Bien caché devant ma cage Danse pour lécher la mort Donne moi les cris de ton corps Donne moi tes nuits et tes rêves Donne moi tes cris et ta sève Donne moi tes moindres désires Je veux que tu me respire Danse comme si je n'étais rien Qu'une poupée dans tes mains Danse dans l'enclave de ta peine Sur le tempo de la haine Danse dans les cris d'une ruelle Comme une fleur éternelle Danse sur le bout de mes doigts Surtout ne t'arrête pas |
ca évoque un viol?? si c'est non, je trouve que ca n'en est pas loin. mais c'est magnifiquement écrit |
| | Un de mes plus récents : Entend tu le cri des alouettes, Porté par le vent, Allant et venant d'un point a l'autre du monde ? Entend tu le chant sombre des corbeaux, Arrivant d'un monde lointain Où seul le mal reigne ? Entend tu seulement, Le monde gémir une douleur enfouïe, En observant la noirceur des gens ? Ô obscuritée, Toi qui nous envelloppe, Ecoute un peu mes paroles... Ne comprend tu pas que tu fait souffrir, Tout les êtres vivants ? Regarde un peu les ravages que tu fait, Observe donc nos coeurs lourds ! La lumiére reviendra-t-elle Nous illuminer un jour ? Eclairant enfin nos pensée, Sanglante et immondes ? Voi,oui,voi ce que tu nous fait ! La planéte n'a t-elle plus d'éspoir ? Nous ne sommes que des pions, Déplacés par la haine... |
| | Petit poême que j'ai trouvé sur le web en fouillant un peu. Je veux simplement avoir votre avis. Le plus sincère qu'il soit... Danse comme si t'avais la rage Bien caché devant ma cage Danse pour lécher la mort Donne moi les cris de ton corps Donne moi tes nuits et tes rêves Donne moi tes cris et ta sève Donne moi tes moindres désires Je veux que tu me respire Danse comme si je n'étais rien Qu'une poupée dans tes mains Danse dans l'enclave de ta peine Sur le tempo de la haine Danse dans les cris d'une ruelle Comme une fleur éternelle Danse sur le bout de mes doigts Surtout ne t'arrête pas |
| | Détresses paternelles Tu ne comprendras jamais Mon intimité n'est qu'à moi Va-t'en s'il-te-plaît Je ne serais plus là d'ici quelques mois J'ai grandit et j'ai changé Tu as aussi vieilli et changé Maintenant j'étouffe et je veux partir Toi tu reste là, tu reste planté Papa, écoute moi, je ne suis plus un enfant J'ai changé, j'ai grandit, je ne suis plus un bébé Maintenant, laisse moi vivre mon intimité Pour qu'enfin je puisse cesser de m'abandonner Il est trop tard pour que tu puisses devenir Le père dont j'ai toujours voulu Il est trop tard pour que tu puisse te souvenir De toutes les choses que j'ai vu J'ai peur de mon avenir, j'ai peur de me séparer Mais toi tu reste là, planté là à me regarder Silencieux tu reste, et moi je me sens étranglé S'il-te-plaît, va-t'en et laisse moi respirer Tu ne me comprendras jamais... |
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